Partager Posté(e) 19 mai 2019 Le mystère du monde est inscrit dans les nombres Dont l'essence provient d'un jeu discontinu Trahissant la nature intimement grenue De l'espace et du temps où nous sommes des ombres Mais racine de deux me plonge dans le doute La distance est finie et non son expression Et dans cet infini j’entrevois la déroute D'un ordre rassurant et de sa conception A tout effet répond une cause première Qui ne saurait passer le c de la lumière Au delà du fini le temps est aboli Disparaît la matière ainsi que l'univers Platonique et l'esprit et sonne l'hallali Physique de l’amour et du bonheur sur terre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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