Partager Posté(e) 9 mai 2019 A l'aube du printempsComme un goût d'herbe sècheQui infuse mon âmeEngorgée d'un chagrinLes mots sont si tranchantsDans leur gaine de veloursà me parler d'amourtout en me lacérantMais raison il y aSans doute à la blessureEt le temps, seulement lui,me reste pour guérirD'une peine infinieS'abattant sur mon cœurComme un oiseau de proieMe déroutant encoreD'un chemin de lumièreQui soudain s’obscurcit Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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