Partager Posté(e) 29 avril 2019 J’écris face à la mer le vent frappe les vitres Le temps imperméable aux interrogations Assigne à chaque instant l’ébauche d’un chapitre Où rien ne se conclut par une solution Quand il faut surmonter l’angoisse à plus d’un titre Des futurs incertains vers la dissolution L’écume et le ciel sont les ultimes arbitres Qui s’offrent à répondre aux dernières questions Éléments étrangers à toutes les ferveurs Jamais vous ne pourrez compatir à mes peurs Je hais le paysage et son indifférence Sa beauté indicible est aussi ma souffrance Et pourtant je ressens le besoin de le voir D’être partie de lui qui devient mon miroir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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