Partager Posté(e) 29 avril 2019 Un poète autrefois Chantait la biche au bois, Puis à la période de rut Il s'en allait aux putes. Ce poète qu'on cocufia Pleurnichait : ne me quitte pas Et de cogner la femme aimée, Pulsion féminicide, avant de la tuer. Des poètes ringards se la jouent troubadour, Aujourd'hui font la cour à l'idéal amour. Dans un glauque glamour, ils encagent leur proie En y fétichisant du corps quelques appâts. Mais moi, ma douce amie, dans nos jeux à la con, Je sais tous tes trompe-couillon ! Je t'aime même si tu pètes Au lit, à l'acmé de nos fêtes ! 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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