Partager Posté(e) 5 août 2018 Lorsque mon âme vacille en des vallons obscurs, Que mes yeux ne voient plus la beauté alentour, Tu es là, et même si ce n'est qu'un murmure, Tu sais ma peine et n'en fais point discours. Lorsque mes rires ressemblent à des pleurs, Que ma force faiblit, que je me force à sourire, Tu es là, et même si je manque de chaleur, Tu fais semblant de rien et attends sans rien dire. Autrefois, nous allions, sur les chemins, insouciantes, Et tu te souviens pour moi de nos jeux innocents. Lorsque l'oiseau, de sa plus belle voix, chante, Je sais que dans ma nuit, c'est ta main qui se tend. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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