Partager Posté(e) 26 avril 2019 Je te hais page blanche au format du néant Et ton incitation à te combler du vide De mon esprit troublé qui ne saura comment Résister au désir dont je te vois avide, Celui de te couvrir de quelqu’insanité. Il reste à mépriser ta virginité blanche Et à t’abandonner à ton sort détesté Car de n’écrire rien deviendra ma revanche. Puisque je peux paraître en toute impunité, Celui qui n’attend pas de la postérité, Je voudrais maintenant inventer un poème Qui n’existerait pas et qui par conséquent Serait dans l’absolu la pure beauté même Que suggèrent l’absence et la perte de temps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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