Partager Posté(e) 26 avril 2019 (modifié) La cendre Depuis longtemps oubliée Est dans la douceur terrestre De l’essaim indissociable Du moulin Au bord du chemin Qui s’efface Raviné par l’amorce Ephémère de nos songes Qui s’incarnent d’insaisissables Et d’impertinentes illusions Le verbe prestigieux s’interroge La couleur s’oppose-t-elle Au rythme ardent Peuplé de brises irréductibles Au supplice de l’immobile Eclatant de distance L’essentiel se souligne-t-il Dans le silence exaltant Dans le sillage solitaire De l’incertitude ascensionnelle. Modifié 26 avril 2019 par Pierre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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