Partager Posté(e) 20 avril 2019 Le givre engourdit Le butin des labours À la fenêtre Irrésistiblement La buée se joue De mon regard fatigué L’horizon La corde au cou Etrangle le vent humide Qui frappe aux rideaux La forteresse En ce jour de licorne Est au creux d’une épaule L’apostrophe est perspective Au carrefour enlacé Torsadé Par la force des jonquilles Habituées à la fièvre souterraine Confiants les pâturages Se reposent à l’ombre D’un clin d’œil. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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