Partager Posté(e) 8 avril 2019 (modifié) Quittant les nocturnes, Les tons et les teints noirs, Et le monde taciturne Où l'on peut voir La veilleuse du soir. L'Été arrive et grandit. Il n'est, pour l'instant, Le Soleil se levant Avec des gouttes de pluie, Encore que Printemps. L'astre enflamme le rideau Bleu nuit devenant rouge vermeil Et, sur la surface de l'eau, A l'aube, au réveil, S'ouvre la scène du Ciel. Les feux rendent saint, En ce matin, Le pianiste tendre Qui, entre les fumées et les cendres, Laisse les notes pendre. En s'écoulant de l'Azur, La cascade de Mélodie Rend à la Nature Les traits les plus jolis De ses verdures. Modifié 8 avril 2019 par Maxence J. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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