Partager Posté(e) 7 avril 2019 Que ce soit dans l’extase Là où frémir suspend Les rivages sauvages Engloutis par la rigueur D’un ciel gris Ou à l’abri d’un tourbillon D’exclaves insoumis La mélodie n’écrasera jamais Le bleu de l’azur Qui au matin Trébuche en vain Sur l’autel de la solitude Un crépitement céleste Peut froisser quelques ruines Mais c’est cruellement Que la pierre témoigne De la détresse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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