Partager Posté(e) 13 mars 2019 j'aurais encore aimé chanter les impatiences qui s'agrippent à la chair j'aurais aimé décliner les printemps se reflétant dans des yeux ce poignard qui tendrement lancine l'attente ces instants suspendus entre le désir et sa peur j'aurais aimé sur le port qui nous a embarqués notre regard s'est fait hiver le poignard s'est émoussé de ne plus nous attendre sur le port qui nous a embarqués nos doigts serrent la tendresse dans l'impatience accomplie j'aime chanter le port qui m'apaise 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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