Partager Posté(e) 10 mars 2019 Sous la pluie de Buenos Aires Où les mots caressent son dos Où la vie explose dans l’air Bien trop chaud au coeur du tripot La musique Chute le long des reins Dans les yeux plantés dans les yeux Où la peur frémit à l’amour Où le feu apparait envieux Bien trop loin des lueurs du jour La musique Enveloppe les reins Dans ces corps serrés dans la nuit Dans leur jeu ivre de lumière Dans leur sort jeté à l’envie Dans l’aveu des regrets d’hier La musique Frissonne au bas des reins Dans les pleurs de l’accordéon Dans la nuit diatonique Dans les pleurs du bandonéon Dans la nuit soudain statique La musique Meurt où se cambrent les reins 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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