Partager Posté(e) 5 mars 2019 Plus pressée qu’avant Vivre intensément, maintenant Mon pas- celui d’une femme, de son humanité Mon souffle de soleil ne m’appartient plus Il exhale des parfums séparés de moi dans mon questionnement au monde Au printemps les oiseaux se décolorent quand ton ombre s'éloigne Je regarde la nuit Tes mots animent les vertiges de mon désir Ta voix-touche de lumière brûle les éclats factices 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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