Partager Posté(e) 19 février 2019 Le noble esprit floué – qu’il faille assujettir De sermons enfiévrés - sous le ciel se dérobe, Lors que l’ardeur ne sied à ce point revêtir L’incarnat de ces nuits où l’orvet nous enrobe. Las de boire en ton sein, je ne puis consentir Au creux de l’insondable échancré de ta robe, Qu’en pièce d’apparat tu ne sus démentir Pour mille et un écus et son pesant d’orobe. Va-t-en cueillir le fruit d’autres corps défendus Qui nourriront les nœuds de tes liens suspendus, Toi la vile colombe au plumage de cire ! Tes ailes brûleront dans l’étreinte d’un soir, Attisant le brasier du plus bel encensoir ; Puisses-tu m’éviter le fardeau de t’occire. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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