Partager Posté(e) 16 février 2019 En attendant Que les ronces Etreignent les ruines Qui se dressent Sur les chemins empierrés Découvrons au hasard Les voiles blanches Que la lumière avale Comme une pierre siffle Dans sa chute Il arrive parfois que la nuit contrarie La souffrance et la vertu Il arrive au matin Que la nuit contrarie la nuit Il arrive que la grâce abrite la tempête Il est bien souvent inutile De tendre l’oreille Lorsque le ciel est bleu S’il faut mettre le fer au feu Pour pénétrer la passion Devenons forgeron. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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