Partager Posté(e) 14 février 2019 Ce qui t’étreint dans l’incertitude d’un jour Ce qui valse au creux de tes si beaux printemps Ce couchant où se lève une aube troubadour Aux vendanges de beaux nuages sous le vent Ce battement impromptu dans ta poitrine Où file cette barque vers de secrètes berges Ce regard chargé de lueurs opalines Cette vague bleu enfantine qui émerge Ce mot penché sur tes lèvres et va tremblant Ce mot dont les chagrins ne se tarissent jamais Ce mot grandissant sous la sève des printemps Qui sous des lunes écorchées sans cesse réclamait Ce qui t’étreint comme une brise caressante Et va se posant sur le soupir des roses Vois-tu c’est l’amour aux lueurs incessantes Dans l’éclat de tes yeux aux métamorphoses Pour Virgile Photo par Angeline Barbara 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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