Partager Posté(e) 10 janvier 2019 Savez-vous l’étrange solitude Qui s’anime insolente Et si pure à la fois, Pareille A ces plaines d’avril Quand le silence bavarde Et que les brumes étouffent La lumière. Savez-vous l’étrange tristesse Quand le regard se perd En un ciel profond Et que plus rien n’appelle. Le cœur Sait, en ses battements glacés, L’ultime message Et tout vient se figer, Dans les vents blessés de l’insouciance. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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