Partager Posté(e) 7 janvier 2019 Le poignard nu La pointe recourbée du poignard fouille la plaie Un torrent de boue s’engouffre par la bouche Noie le regard, façonne le cri perdu en un bâillon de chair Mémoire sanguinolente aux filaments blancs Nul ne sait mieux que les murs, que les fenêtres closes Les secrets à fleur de lèvres 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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