Partager Posté(e) 28 juillet 2018 Ta jeunesse est un îlot de grâce J’y vois sans cesse l’ourlet délicat De tes lèvres au son des maracas Dans le flou tendre d’un jour qui passe Morne saison que mon automne Elle va et se distille à contre-jour Sous d’orgueilleux ciels devenus sourds Remplis de chants obscurs qu’ils fredonnent Ta jeunesse est une nuit éclose Un baiser tremblant qui se pose Aux secrets soupirs de ton corps J’y vois sans cesse un cœur qui dérive Au flot incessant d’écumes moroses Et d’anciennes amours qu’elle ravive Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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