Partager Posté(e) 18 décembre 2018 ma solitude m'avale comme une terre qui s’effondreje fais partie de cette faille je suis un oiseau de terre.j'ai rêvé que je mourrais embrassée par toique tu m'avais ouvert comme une graineet t'as jeté ses enveloppes.rien n'est plus près de moi que ma propre solitudej'ai personne à qui dire ça - tous dormentmoi je me suis endormie en toi je me suis endormie jusqu’à la disparition et j'hurle. j'hurle comme si j'avais chanté parfois j'hurle en sourdine. ma solitude est une bête qui arrache mes larmes pour les boire. il y n'y a pas des asiles pour les solitaires leur folie n’intéresse personne ils sont ceux qui attendent la pluie. parfois elle arrive. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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