Partager Posté(e) 20 novembre 2018 Le soleil se couche l'étourneau rejoint ses semblables pour rentrer au dortoir. Ils sont des milliers leur vol est gigantesque ils dansent un ballet homogène de bâbord à tribord et chaque oiseau est indépendant. Je voudrais mourir sur une de leurs ailes, n'importe laquelle, sans bruit, au beau milieu du ciel pourvu qu'on ne m'enterre pas et laisser retomber en un dernier battement d'ailes tous mes poèmes sur la terre L'étourneau n'est jamais seul. (J.E. Nov.2018) * Il faut absolument avoir vu un vol d'étourneaux pour comprendre au mieux ! * 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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