Partager Posté(e) 13 novembre 2022 (modifié) En hommage à Camille Claudel et à son oeuvre Ce poème fait suite à "La valse" de Camille Claudel. Ce n'est qu'une interprétation où se mêlent subjectivité et réalité. La vague devient chair dans le ciel dénudé. Le long de son corps embrasé se perd le temps. L'onde enserre la lumière de vert veinée, Oblitérant de ses doigts le jour en suspens. Lors, la vague émeraude vomit la colère Dans la danse de ses lames effrénées. Se pétrifie dans les coulures de l'éther, Son âme déchue où s'émiettent les trophées. Les trois belles à l'entour de l'intempérance, Eclaboussent la vague de leur nudité, Quand leurs coeurs ceints d'onyx vibrent dans les luisances. La grâce susurre à la vague captivée: " Sursois à briser mon âme qui bat encore Dans la danse des corps où vacillent les ors." montage de photos Modifié 13 novembre 2022 par Sophie 13 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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