Partager Posté(e) 21 septembre 2022 Dans le bruissement de l'aube à peine éclose De tes pensées seules effleure ton rêve Avant que ne fuit son âme sur la grève Où les ors s'abreuvent du souffle des roses Vois comme il suffoque toujours sur la terre Entends-tu son coeur battre dans la lumière? Refuse qu'il ne meure, je t'en conjure Il ne saurait encor mourir sans ratures Le rêve est l'âme du jour qui caracole Sur les ondes où s'oublie en vain le temps Dans la symphonie des secondes frivoles Dans le feuillage des mots, insensément Rêve donc... Fuis désespérément la nuit Pour étreindre l'âme de l'oiseau de vie 13 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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