Partager Posté(e) 22 juin 2022 (modifié) Le jour se dilue dans ses grands yeux absents Où semblent flotter ses indicibles peurs Dans les larmes sépulcrales de son coeur Atone par-devers ton acharnement Quand son existence tu oses nier Dans l'ombre où se murent tes châtiments Dégoulinant de honte sur le plancher Vils sont tes rires griffant l'entendement Il est sa chose sa misérable chose Qu'il heurte à l'envi de son pied éhonté Vaine est sa fuite par l'enfant débusqué Le chat rebondit contre les murs moroses Comment peux-tu jouir de ta cruauté Sous le regard enjoué de ton enfant L'animal souffre, le sais-tu seulement Entends le coeur qui bat sous ses poils lustrés Nul doute que tu ne veuilles te renier Tant aux yeux du monde où s'entache ton nom Qu'à ceux de ton enfant t'aimant sans restriction L'inhumanité n'a plus droit de cité Modifié 22 juin 2022 par Sophie 8 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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