Partager Posté(e) 6 juin 2022 A l'aube ô combien monotone Je regarde mon avenir Qui n'en finit pas de mourir Dans les décombres de l'automne Et j'écoute le long silence Des ombres vertes qui s'éloignent Au fond des lointaines campagnes Dans le soir rose qui s'avance Aux forêts denses de mon âme D'un vieux cerf on entend le brame Sous les frondaisons sans clarté Et dans la nuit noire et profonde Mon esprit aux confins du monde A des rêves d'éternité. 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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