Partager Posté(e) 25 janvier 2022 Le détail qui s’éloigne au fond de la toile Donne tout son sens au bras levé Aux courbes indéfinies de l’horizon L’indifférence est dans la sécheresse des regards Pesant l’espoir est au bord du gouffre Et le miroir inlassablement brise ses blessures Dans l’obscurité des pierres plates Bien sûr bruler quelques étoiles n’effondre pas le ciel Mais les oiseaux toujours préservent le silence Et les chemins toujours mélangent les spirales de l’ailleurs Au plus profond de l’ivresse amnésique L’opacité jongle sur les traces de l’indicible Là où les nouveaux poètes S’ouvrent les veines Avant de s’échouer À grand bruit de cyclone Dans le velours de l’audace. 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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