Partager Posté(e) 20 janvier 2022 Sens-tu le vent frémir dans la toile du monde où le temps s’évapore La pureté de l’hiver n’est qu’un chemin abstrait où je demeure encore le flou inopérant d’une attente fortuite où tes yeux ne sont plus que silence et vestige Je vivrai là où le vent dessine ton visage loin de ma solitude où le vent se refuse à perdre ton haleine où s’imprime le souffle parfumé de tes lèvres Là où le vent ira sous les pluies et les sentes les façades et les nues j’insufflerai ton nom 16 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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