Partager Posté(e) 16 janvier 2022 Sur la nappe blanche de satin froissé s’engouffre le vent l’azur à présent s’étale qui tout dissout les larmes de grenat au fond des verres embués les lèvres les sourires les baisers consumés et dans la salle où l’ombre s’enfuit livrés au silence les mains les regards l’adieu consommé. 14 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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