Partager Posté(e) 5 janvier 2022 (modifié) La mort était partout sur les ondes propices Qui déversaient leur fiel au bord du précipice À pleurer en cascade avant que d'y chuter Dans un flot térébrant de douleur enivrée ! La pestilence verte envoyée par les dieux Recouvrait le marais jamais aimé des cieux Sans même un petit bout d'espérance lointaine Où se noyer en paix et emporter sa peine. Je crève d'en crever si tant est que je crève Pour libérer enfin une rencontre brève Quand tout va à vau-l'eau avec la formidable Envie de tout plaquer en rejoignant la tombe Si pourrir est le luxe en ce jardin qui plombe Ce que la vie pourtant efface sur le sable ! Modifié 5 janvier 2022 par Marc Hiver 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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