Partager Posté(e) 4 janvier 2022 (modifié) Pourquoi ne t'ai-je mieux aimée, Au temps heureux de ta présence. Lorsque, près de moi, en souffrance, Pour mes mains tes mains se tendaient. Qu'en silence tes yeux me parlaient De tes espoirs, de tes attentes Des cris qui montaient de ton ventre. Alors que le temps s'enfuyait, Dans mon absence, enfermé, Par d'autres rêves, prisonnier, J'ignorais que ton coeur saignait. Si mon amour et mes regrets, Jusqu'à toi, par le vent, portés, Arrivent à ton éternité. S'il t'importe, encore d'aimer, Veuille, ton âme, pardonner. Modifié 5 janvier 2022 par Zanoni 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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