Partager Posté(e) 10 octobre 2018 Ô ce vieil ours de l'enfance qui apaisait ta soif et ta faim usé de câlins recousu tant de fois parfums des choses simples Ô ces cœurs blessés usés d'amours mortes cicatrisés tant de fois sans toi, ni moi, ni foi parfums de choses inutiles comme du temps perdu coulent dans les sabliers cassés (J.E. Oct. 2018) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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