Partager Posté(e) 14 septembre 2021 Je crois parfois rêver ma lèvre ainsi captive de ta bouche qui s'enivre appelant l'accord fou de nos heureuses fièvres. Nul besoin de parler pour rondement s'entendre, nos pensées toutes entières s'épousant d'évidence. Le spectacle du monde est un lointain ballet tant nous sommes en nous-mêmes dans une heure suprême. Dans une heure d'amour aux trésors de tendresse, aux chuchotis d'air bleu, aux désirs combustibles. C'est une heure riante qui rayonne et flamboie. Et je crois bien rêver, bercée, l'âme pâmée, dans la grandiose fête de nos corps enlacés, où tout s'aime et s'anime, chairs, esprits , sans sommeil, comme en ravissement. 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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