Partager Posté(e) 1 septembre 2021 (modifié) Des massifs d'aubépine saignent les barcarolles des souvenirs d'enfance et des festins de quatre heures Les trilles du loriot revisitent Debussy ou Satie et ses sonates spontanées accompagnent les pensées dans la pénombre L'uniforme crépusculaire refroidit les anges diurnes lissant de tentures aux vagues bleues les aspérités du paysage Modifié 1 septembre 2021 par Bollinger 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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