Partager Posté(e) 28 août 2021 L’œil équivoque Écaille le mois d’avril Sur le revers que les pendules déroulent Aux confins ramifiés du destin La mémoire s’active et s’emprisonne en équilibre Funambule au bord de l’écho Ente rempart et lumière Le geste est précis L’horizon en pointillé en profite Et trompe la vigilance des passages à gué Sur les saisons des transhumances Rien ne pourra étouffer l’ennui Qui ouvre l’encre brutale et monotone Dans les jardins des châteaux fantomatiques Les murailles se lézardent et saignent dans les vignes Sur les épaules le miel fatigué Par le plomb et le silence Plonge dans les frissons De la Grande Ourse. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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