Partager Posté(e) 12 août 2021 Sur les rivages étrangers Que les artères bousculent Les reflets inexplorés Titubent trébuchent Glissent et sombrent À tout jamais dans la profondeur Inaccessible des nuages Il y a tant de choses brutales Sans épice Esclave de nos rêves Tant d’exigences inutiles Il neige si souvent sur la lumière Qui enveloppe les linceuls Aucune larme n’apprivoise la pesanteur C’est à la frontière de la douleur Lorsque le bruit nourrit le silence Que le parfum translucide rassemble Les blessures du bois vert Restons sans bouger Le soir est si long à venir Restons sans bouger. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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