Partager Posté(e) 23 juillet 2021 L'automne s'est posé sans bruit Sur le bois de pins maritimes Où se reposent pour la nuit Les palombes bleues dans les cimes A l'horizon ensanglanté Traînent des lambeaux de ciel bleu Que le soir mangeur de clarté Fait disparaitre peu à peu Journées blêmes de brumes lentes Où pèse l'immobilité Le spleen envahit la cité Et les campagnes se lamentent Automne automne tes jardins En ce soir monotone pleurent Devant le funeste destin De tant de roses qui se meurent. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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