Partager Posté(e) 23 juillet 2021 Silencieux au sommet de l’ombre Dormir est la douleur de l’étrange obscure Et du regard des fleurs C’est en exil que la mer En dehors des parchemins Délivre l’audace aux doigts de feu Les chemins peuvent faire tressaillir l’offrande Fabuleuse étoile Les augures sont légion Et l’ivresse monotone Navigue de folie en émoi Dans la brume des clochers C’est en vain Que les cendres des roseaux Traversent l’azur Reliques innocentes Les naufrages sont cruels Pour ceux dont la faiblesse des citadelles N’est que farouches flambeaux Sur les lèvres des colombes. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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