Partager Posté(e) 15 juillet 2021 C'est la saison des yeux médusés des impudeurs de braise du déferlement des désirs aigus des douces aimances aux ventres sources La nuit attend l'accueil des bras L'opale du jour offre une tendre morsure A la fenêtre close s'échoue la rondeur des lèvres jointes La poésie d'amour irrépressible est plus vaste que tout et impose sa plénitude veinée de mots fous C'est le premier été qui vient avec le feu de la présence ample et palpitante frottée à la houle vive des reins 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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