Partager Posté(e) 8 juillet 2021 La nouvelle aube se fâne Les larmes de la rosée sur le cep luisent L'élection américaine dans tous ses états puise Le jeune poète se pavane De retour à l'anormal consensuel Ni sourd ni aveugle le silence ne doit être De boire l'Uby cuité des pistes cyclables de l'enquête Plus vieux moins solaire sensuel L'aube à nouveau se paname Le beau se flétrit se cancane Les preuves je vous les fournirai Mon délit de cuite aux confins de la lune Son corps est objecteur de ma conscience et ma plume Les couffins de ma finesse disparaîtraient L'aube dévoile le moineau en son ciel De son bel envol dessine une courbe-aile Des éclats de rêve dans mon miroir Semés de fonds de verre et de tiroirs Sous le casque le masque à règne Décaler les saisons des araignées Recadrer Noël le premier avril enfiévré Sous la cloche je démasque la peine La nouvelle aube s'est fânée De jeunesse poétiquement pavanée Les voiles mariés aux vertes herbes Ceux qui iraient skier superbes À nier aussi leurs existences Leurs moteurs n'ont plus l'essence Le don de soi est plus longtemps impuni L'enfer démultiplié est l'égal du paradis Des larmes rouges ont coulé des fenêtres Aux accents basques plus que de paraître Les rires aux éclats de verre dans les tiroirs Sont rangés de casiers judiciaires d'histoires De l'aube nouvelle en l'orientant Du levant au couchant de sons vibrants Vivants de vie infinie De l'aurore à la nuit 07/21 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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