Partager Posté(e) 9 juin 2021 L'azur brillait d'un éclat indécent. L'horizon n'était plus. Si éphémère... Eploré sur l'aile du temps offert. Défaillant dans le triste firmament. La terre enfiévrée et les pleurs troublants Dans une irréalité incendiaire L'azur brillait d'un éclat indécent. L'horizon n'était plus. Si éphémère... Des lumières, nous sommes les enfants. "La science est le jour", proclamait Voltaire. Sur la terre au triste visage austère L'espérance se consterne céans. L'azur brillait d'un éclat indécent. rondel en décasyllabes. Ce poème a été écrit lors du premier confinement. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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