Partager Posté(e) 27 mai 2021 Les peupliers dansent transe élégante de géants de flamme en flamme l’un contre l’autre en cadence ils acclament l’orage comme chant d’espérance au plus noir des nuées applaudis par le vent et toute ma mémoire bisse un bonheur oublié ! * Etranger à demeure dans l’encre des nues j’opine à hublot ouvert -plein vent de poésie- ainsi je prends genèse dans le mouvement perpétuel mes semelles de plomb devenues aigrettes de lune l’astre au zénith gît astérie des grands fonds * La fenêtre aux aguets j’étais penché sur le monde immonde quand au moment même où s’effondrait le soir je me précipitai d’une gifle alors le vent rattrapa mon âme ganté d’azur pourtant et d’écarlate et la jeta aux étoiles éberluées. 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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