Partager Posté(e) 2 mai 2021 (modifié) Était-ce à Tombouctou ou bien à Zanzibar, Au désert de Gobi, lové comme un lézard, Aux sables éternels que tu vins m'approcher Une rose à la main, les doigts teints de henné ? J'étais un peu couillon et puceau de la vie, Parachuté sans faim au sortir de mon nid Quand le vent de la terre encageait l'horizon, M'invitant, prisonnier, à foutre le boxon. Le sable tiède est doux au soleil amouresque ! J'étais civilisé et toi la Barbaresque D'un mirage de feu, les flammes dans les yeux. Un fennec attendri n'en crut pas ses oreilles De nous voir butiner à l'instar des abeilles Nos fluides ambrés bénis par nos aïeux. Modifié 2 mai 2021 par Marc Hiver Uni un 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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