Partager Posté(e) 29 avril 2021 (modifié) Ne soyez pas gênés si je livre mon cœur Au milieu du printemps, délivré de mes peurs, Car peu s'en faut, l'ami, qu'une femme bio, Nourrie comme il se doit, se trémousse à Rio. Moi, le Carioca au sexe en pain de sucre, Tout aussi bio qu'elle et excédé de stupre, Je ne peux aller voir, enfariné de joie, Combien me coûtera ce plaisir hors-la-loi. Nous dansons la samba presque nus dans la rue Au son des tambourins qui donnent la berlue Et je suis en cadence un rythme saccadé. L'amour fou fond sur nous et nous nous culbutons Sans souci d'exhiber nos corps à l'abandon Qui embrasent l'espace au temps de l'hyménée. Modifié 29 avril 2021 par Marc Hiver 3 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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