Partager Posté(e) 26 avril 2021 (modifié) La chute des grêlons Sur le toit des greniers Et le grain fragile qui s’endort À l’abri de la famine N’ouvre aucune porte Comme si toutes les histoires S’effondraient dans l’oubli Et les reflets ardents De la farine aux parfums ambigus Tournaient en rond au cœur des moulins Sous la meule monotone C’est à l’écart que les caresses Épuisent le silence des paupières Ce sont les flammes qui perlent À l’appel du guetteur À l’appel de l’ivresse Qui docile brûle la poussière Roche en fusion Force du désir Lorsque la pomme Lourde dans la main Traduit le blanc des yeux Soulignant d’un trait noir Le tumulte de l’instant. Modifié 26 avril 2021 par Pierre 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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