Partager Posté(e) 22 avril 2021 (modifié) La gare s'alimente de nos attentes si longtemps bras inutiles bouche implorante crispée de ne pouvoir peau desséchée les yeux se mouillent Il n'y a rien à boire si ce n'est l'absence tendresse avortée Les coudes se frôlent ne jamais toucher plus près guerre, gestuelle atrophiée nerveux le cœur se meurt quelque part un cri, un murmure le long de chaises vides la peur Modifié 22 avril 2021 par Myrtille 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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