Partager Posté(e) 15 avril 2021 Vacillant le paysage ductile Supporte les sourires malhonnêtes Qui calment les douleurs du cristal Limpide à l’ombre de sa brisure Dans les jardins soumis à la discipline des saisons Peu importe le jugement Qui claque les portes des prisons Le sable brûlant sous les pieds Danse dans les forges vives Pour mieux clouer Les épines au cœur Du jour qui plisse l’émail Sans refuge oranger sans ride au coin des yeux Les visages souvent se dérobent et s’essoufflent Lorsque médiocres les souvenirs se faufilent Sous l’emprise du silence L’aquarelle est une mélodie À la surface de l’horizon L’élixir s’évapore du crépuscule Quand le vide est un fardeau Les caresses sont des naufrages Qui bercent les tempêtes. 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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