Partager Posté(e) 8 avril 2021 La cloche suspendue vibre au chant de tes seins Dans le corps à cœur fou du ciel et de la terre La nuit où les oiseaux agrippent de leurs serres Le sang la bouche unis par le son du tocsin Protège moi ma sœur de mes élans malsains Trop fort est mon désir c’est le feu qui m’atterre Retiens la proie de l’ombre et l’émoi délétère Vois je prie le bon Dieu ainsi que tous les saints Tes yeux sont un bonheur tes bras sont un péril Sans cesse je te perds dans la joie et les cris Sur le chaste bûcher mon sort n’est pas écrit La nuit le vent le temps et ta fidélité Ton sourire entrevu la lumière d’avril Sont mes havres de paix et mon éternité 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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