Mohand Posté(e) 7 avril Partager Posté(e) 7 avril Sur le charmant babil aux accents indistincts, Quand s’efface le jour, le ciel tombeur s’étale Vers le bel horizon où flambe le destin Aux éclats indiscrets de ses rives fatales. Le chant du soir s’entend à l’orée du repos, Où sèche la sueur effanée de ses heures, Son air humain et beau comble mon cœur d’un flot, Embaumé dans la nuit où ses lèvres m’effleurent. Séduit par le silence et le déclin du temps, Il couvre les clameurs sous la première étoile, Un astre illuminant les plus beaux des printemps, Dans le lit encensé que la grâce dévoile. 7 Lien à poster Partager sur d’autres sites
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