Partager Posté(e) 17 mars 2021 Après l'hiver frileux, voici que le printemps Ouvre les fenêtres et sa douce lumière Éclaire la maison afin que la prière Des oiseaux revenus soit le maître du temps. L'été sera trop chaud, l'automne monotone, Mais le printemps, toujours, respire du parfum Timide de ses fleurs aux couleurs que l'on peint Avec la palette des âmes qui s'étonnent. Que l'hibernation de l'ours brun se termine, Car j'ai longtemps dormi pour échapper au vent Qui arasait caduc ta peau tendre d'hermine. Il existe un endroit au printemps éternel Se moquant des saisons — clichés des continents —, C'est dans la presqu'île du Cotentin bleu ciel. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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