Partager Posté(e) 14 mars 2021 (modifié) À la fin de l'hiver, c'est un peu moi qui meurs. J'appréhende l'été, le printemps pluvieux, Leurs couleurs criardes à mes yeux chassieux Avant l'automne creux en ses âcres senteurs. À la fin de l'hiver, je pars au pôle Nord Pour endiguer mes pleurs, retrouver la fraîcheur, Car l'été bien trop chaud, le printemps de malheur Feront de moi la loque ès ironie du sort. En attendant l'été, le printemps servira Aux filles court vêtues un son de mandoline Concertant mi majeur, Vivaldi sévira. Bene, le Cotentin méconnaît les saisons Avec pour tout credo une absence de spleen, Cette bouillie de l'âme aux vers en déraison. Modifié 14 mars 2021 par Marc Hiver 5 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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